
La saison 4 de Black Ops 6 se dévoile peu à peu, avec l’annonce du Passe de combat et des nouveaux skins, et un opérateur en particulier fait déjà grincer des dents au sein de la communauté.
Comme à chaque mise à jour majeure de Call of Duty, les développeurs dévoilent en amont les nouveaux contenus cosmétiques et les bundles à venir. Le 27 mai, Treyarch a levé le voile sur les premiers éléments de la saison 4 de Black Ops 6, avec notamment le skin “Dadler” pour Adler dans le pack Dressed to Grill, mais aussi les ajouts de l’offre BlackCell.
Et c’est justement dans cette offre BlackCell qu’on découvre Omen, le nouvel opérateur exclusif, surnommé The Crimson One. Son apparence ? Un démon cornu enchaîné, présenté comme une “âme condamnée à l’emprisonnement éternel”. Une direction artistique radicale et controversée qui est déjà jugé “pay to lose”.
Un skin de la Saison 4 de BO6 déjà considéré comme “pay to lose”
Omen apporte avec lui toute une série de cosmétiques aux allures infernales, entre plans d’armes et skins tout droit venus des enfers. Mais c’est sa version de base qui cristallise les critiques : trop voyante, mal intégrée, et surtout contre-productive en jeu.
“Ce jeu a les pires passes de combat et skins des derniers CoD. Ils sont tellement ennuyeux que je n’achète même plus le Passe”, déplore un joueur sur les réseaux. “On dirait qu’il brille. Il aura sûrement un effet visuel ridicule. C’est littéralement pay to lose“, ajoute un autre.
Plusieurs membres de la communauté pointent également du doigt la qualité générale des skins, suspectant même l’usage de génération automatique par IA : “Tous ces skins ont l’air générés par IA. Aucun ne sort du lot. Ce sont les pires cosmétiques que j’ai jamais vus dans un Call of Duty.“
En rapport
Depuis le lancement du jeu, la direction artistique des skins divise. De nombreux fans reprochent aux cosmétiques de ne pas respecter l’ambiance militaire et réaliste des années 90, pourtant au cœur de la narration de Black Ops 6.
Le cas d’Omen s’inscrit parfaitement dans cette rupture. Un démon surnaturel, aussi tape-à-l’œil qu’incohérent avec l’univers du jeu vient renforcer ce sentiment de déconnexion. Et en plus, il pénalise la visibilité et le gameplay de ceux qui le portent.